Faut-il se faire vacciner contre la grippe ?

Écrit par Benoite Taffin

Source : L’ESSOR n° 502 de février 2017

Lors d’un récent déjeuner professionnel, l’un des convives m’a demandé à brûle-pourpoint s’il fallait oui ou non se faire vacciner contre la grippe. N’étant ni médecin, ni ministre de la santé, ni directrice des ventes d’un gros laboratoire pharmaceutique, ni même militante forcenée anti-vaccination, je décidais dès mon retour de mener ma petite enquête.

Outre le désir de briller davantage dans les déjeuners parisiens, il me tenait à cœur de vous informer sur le rapport bénéfice/risque de la vaccination antigrippale.

 

Entre deux maux, choisissez le moindre

Lors de ce fameux déjeuner, l’un des convives me vint en aide en proposant une réponse : si vous êtes en forme, ne vous faites pas vacciner. Sous-entendu, si vous êtes en bonne santé, non seulement vous survivrez à la grippe, mais en plus, votre système immunitaire en sortira renforcé. Mais ce conseil sous-entend-il que si vous êtes en mauvaise santé, il vous faut choisir entre mourir de la grippe ou mourir des effets secondaires du vaccin ? Pour ma part, je choisirais la grippe, mort qui m’apparaît plus naturelle et qui ne met pas en cause l’intégrité de l’Etat. Certains esprits malveillants suggèrent en effet que le gouvernement trouve un intérêt (outre les pressions financières des gros laboratoires) à se débarrasser des personnes du 3ème âge en raison du déficit des caisses de retraites. Sans vouloir porter foi à ces rumeurs, il semblerait qu’en 2010, le gouvernement ait acheté pour 1,5 milliards d’euros 94 millions de vaccins contre la grippe A, oubliant probablement que la France ne compte que 67 millions d’habitants. Or, seuls 4,5 millions de vaccins ont été utilisés… Ne vous laissez donc pas gagner par la panique gouvernementale, souvenez-vous bien qu’une grippe reste une grippe et que la plupart des personnes en réchappent.

 

Trois bonnes raisons d’éviter la vaccination

Suite à mon enquête, il semblerait en revanche qu’il y ait pas mal d’inconvénients à se faire vacciner :

  • Les vaccins sont fabriqués à partir des souches de virus de l’année précédente. Or, il existe de multiples virus de la grippe et il est impossible de prévoir lequel sévira cette année. L’hiver dernier seuls 47% des personnes vaccinées étaient réellement protégées.
  • Les vaccins contiennent tout un tas de cochonneries appelées pudiquement « adjuvants ». C’est le cas du mercure pouvant causer, entre autres, la dépression, des pertes de mémoire, des maladies cardiovasculaires, des problèmes respiratoires et bucco-dentaires, des déséquilibres digestifs…
  • Chez les personnes déjà affaiblies, le vaccin antigrippal fragilise encore le système immunitaire forcé de lutter contre un nouveau virus. C’est alors la porte ouverte à tous les autres virus de la grippe avec des symptômes aggravés, ainsi qu’à d’autres maladies contagieuses sévères comme la pneumonie. Le Dr William Frosehaver, professeur de médecine préventive et de santé communautaire de l’Université de l’Illinois (USA), affirme d’ailleurs que « le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même ».

 

Evitez la grippe naturellement

Pour avoir un système immunitaire invincible, les conseils sont toujours les mêmes : mangez équilibré (en bref, n’oubliez pas les fruits et les légumes), dormez suffisamment et pratiquez une activité physique régulière. Si vous vous sentez abattu et/ou entouré de malades, vous pouvez renforcer votre système immunitaire et vous protéger des virus grâce aux plantes :

  • Faites une cure d’extrait de plante fraîche d’échinacées (Echinaforce®).
  • Procurez-vous la précieuse huile essentielle de ravintsara (Cinnamomum camphora) et consommez 2 gouttes sur un sucre une fois par jour pendant 21 jours. Vous pouvez également en appliquer quelques gouttes sur la colonne vertébrale.


Un vinaigre de plantes protectrices

En cas d’épidémie, plutôt que de succomber à la peur ou à la vaccination, frictionnez-vous les bras et les jambes trois fois par jour avec du vinaigre des 4 voleurs, un remède qui a fait ses preuves lors de la terrible épidémie de peste à Toulouse en 1628. Il était alors utilisé par 4 voleurs pour dépouiller les cadavres sans être contaminés. Inventé au XVIème siècle par des moines franciscains, ce remède antiviral est composé de 10 plantes (romarin, absinthe, sauge, menthe, rue, lavande, clou de girofle, noix de muscade, ail, cannelle) macérées dans du vinaigre de vin blanc.

 

 

 « Je prends les vaccins en grippe »

Gaëtan Faucer